|
Dès le début des années 70 puis principalement vers la fin des années 80, beaucoup de bateaux d'Audierne (et de Camaret) ont émigré vers les îles anglo-normandes ou l'Angleterre. Après parfois une transformation assez radicale, ils ont continué (ou renoué) avec leur ancien métier des crabes. Certains ont gardé le même nom, d'autres en ont changé mais tous ont fait la preuve de leur exceptionnelle solidité. Il y a eut, certes, à déplorer quelques fortunes de mer mais ceux qui naviguent encore aujourd'hui sont la preuve vivante d'une maîtrise et d'un savoir faire incomparables en matière de construction navale artisanale. |
|